VŒUX DE NOEL ET DU NOUVEL AN DE SON EMIENCE LE CARDINAL PHILIPPE OUEDRAOGO

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Au seuil de Noël 2016 et du nouvel 2017, son Eminence, le cardinal Philippe Ouédraogo a offert ses vœux les meilleurs à tous les Burkinabè. La presse qui s’en est

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fait l’écho, a été la première servie par son Eminence, en ces termes : « A vous, hommes des médias, appelés, non sans raison, le 4ème pouvoir, je souhaite courage et plein succès dans votre travail, combien délicat. En tout cas l’Eglise souhaite que les hommes des médias puissent  s’acquitter dignement de leur mission selon leur conviction, et essaient  d’être « des reflets du beau, du vrai, de la vérité » et en être les serviteurs, pour ainsi contribuer à construire une société paisible et fraternelle.

Cardinal Philippe Ouédraogo
Cardinal Philippe Ouédraogo

Au nom de l’Eglise Famille de Dieu, le cardinal  a adressé à tous les fils et filles du Burkina Faso, chrétiens catholiques ou non, ses vœux les meilleurs en ces termes : « Je souhaite à tous sans exception, une bonne et sainte fête de Noël, une heureuse année 2017. Nous sommes tous les grains d’un seul et unique panier, condamnés à vivre ensemble, à réussir ou à échouer ensemble ».

Se référant aux recommandations de l’assemblée spéciale pour l’Afrique du synode des évêques, placé sous le thème « Réconciliation, justice et paix pour toutes les sociétés africaines », son éminence a convié tous les Burkinabè à progresser dans la réconciliation, la cohésion sociale, la justice et la paix ; une paix véritable, une paix durable. En lien avec l’année de la miséricorde dans laquelle nous a engagés à vivre toute une année durant, le pape François,  le Cardinal a rappelé ceci : «Nous avons tous besoin de la miséricorde, parce que nous sommes des humains, des faibles, des pécheurs ; et à notre tour, chacun de nous doit être un reflet de la miséricorde autour de soi. Ce, en vue d’un monde plus beau et plus fraternel.

Pour ce faire, insiste le Cardinal Philippe, tous les croyants doivent se mobiliser dans la prière et la confiance en Dieu « qui écoute et aime le peuple Burkinabé ». Du reste, comme il l’avait déjà dit à des militaires, la prière doit être et rester notre kalachnikov, autrement dit, notre force en tout.

Ab Paul DAH